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vendredi 30 avril 2010

Les Flammpanzers (2)

Historine poursuit son étude des chars lance flammes allemands durant la 2nd Guerre Mondiale. Aujourd'hui, nous nous intéressons au Panzer II "Flamingo".

Bonne lecture.
Les Panzer II Flamm
Construit sur les bases du Pz II Ausf. D et Ausf. E, le Panzer II Flamm (aussi connu sous le nom de "Flamingo") utilise une nouvelle tourelle avec une mitrailleuse MG34 7.92 mm et deux lances flammes montés sur deux petits tourelleaux  à chaque coin avant du char.  Chaque lanceur peut couvrir un angle de 180° tandis que la tourelle elle tourne complètement.
La dotation est de 1800 munitions pour la mitrailleuse et de 320 L de fuel pour les lance flammes (4 réservoirs blindés sur les flancs). Le blindage avant est de 30 mm et de 14.5mm sur les cotés et à l’arrière (20mm pour le blindage flanc/arrière de la tourelle).
 
155 PzII Flamm sont construits de janvier 1940 à mars 1942 (la plupart sur des châssis neufs bien que 43 chars soient reconstruits sur la base de châssis endommagés).  
 
Les chars sont déployés en Russie (2 bataillons) mais ne rencontrent pas un grand succès (du faite de leur blindage trop légers). Les survivants sont retirés très vite.

jeudi 29 avril 2010

Historine n'est pas qu'un club de figurines d'Histoire !!!

Aujourd'hui, une fois n'est pas coutume, Historine vous présente l'armée Warhammer 40000 d'un de nos membres :Philippe Bertrand. Voici donc quelques photos de son armée (Garde Impériale).

Bon jeu.

mercredi 28 avril 2010

La bataille des Pyramides (3) - (21 juillet 1798)

Historine poursuit et termine son étude de la bataille des Pyramides. Aujourd'hui, nous vous donnons l'ordre de bataille.

Bonne lecture.

Forces Françaises
Commandement général
• Général en chef : Napoléon Bonaparte commandant 21 000 hommes
• Chef d’état-major : Général Berthier
• Sous-chef d’état-major : Pierre Joseph Bérardier Grézieu
• Commandant la cavalerie : Anne Joseph Dumas
• Commandant l’artillerie : Elzéar Auguste Cousin de Dommartin
• Commandant le génie : Marie François Auguste de Caffarelli du Falga
• Directeur des équipages et des ponts : Antoine François Andréossy

1re Division
La 1e Division est commandée par le Général Charles François Joseph Dugua en remplacement du général Jean-Baptiste Kléber. La 1ère division forme un carré au centre du dispositif Français.
• Chef d’état-major : Général Laugier
• 1e Brigade – Général Jean Antoine Verdier
    o 2e demi-brigade légère (3 bataillons) – Général François Antoine Desnoyers
• 2e Brigade – Général Jean Lannes
    o 25e demi-brigade de bataille (3 bataillons) – Général Simon Lefebvre
    o 75e demi-brigade de bataille (3 bataillons) – Général Antoine Maugras
• Brigade de cavalerie Joachim Murat
    o 14e Dragons (3 escadrons) – Général Duvivier
    o 15e Dragons (2 escadrons) – Général Barthélemi

2e Division
La 2e Division, dite de réserve est commandée par le Général Louis André Bon. La 2e division forme la gauche du dispositif Français et est appuyé sur le Nil, proche du village d’Embabeh.
• Chef d’état-major : Général François Valentin
• 1e Brigade – Général Auguste Frédéric Louis Viesse Marmont
    o 4e demi-brigade légère (2 bataillons) – Général Jacques Zacharie Destaing
• 2e Brigade – Général Antoine-Guillaume Rampon
    o 18e demi-brigade de bataille (3 bataillons) – Général Jean Urbain Fugière
    o 32e demi-brigade de bataille (3 bataillons) – Général Dupuis

3e Division
La 3e Division est commandée par le Général Jean Louis Ebénézer Reynier. La 3e division forme un carré au centre du dispositif Français et est appuyé sur le Nil.
• Chef d’état-major : Général Julien Joseph François Bénigne Julhien
• Brigade – (ex général Louis André Bon)
    o 9e demi-brigade de bataille (3 bataillons) – Général Édouard François Simon ou Henri Simon
    o 85e demi-brigade de bataille (3 bataillons) – Général Jean-Louis Davroux
• Brigade de cavalerie
    o 18e Dragons (4 escadrons) – Général Joseph Thomas Ledée

4e Division
La 4e Division, l’avant-garde, est commandée par le Général Louis Charles Antoine Desaix. La 4e division forme l’aile droite du dispositif Français vers le village de Guizeh.
• Chef d’état-major : Général François-Xavier Donzelot
• 1e Brigade – Général Augustin Daniel Belliard
    o 21e demi-brigade légère (3 bataillons) – Général Antoine Joseph Robin
• 2e Brigade – Général Louis Friant
    o 61e demi-brigade de bataille (3 bataillons) – Général Nicolas François Conroux
    o 88e demi-brigade de bataille (3 bataillons) – Général Pierre Louis François Silly
• Brigade de cavalerie – Général Louis Nicolas Davout (il remplace le général Mineur décédé)
    o 22e Chasseurs à cheval (3 escadrons)
    o 20e Dragons (3 escadrons)

5e Division
La 5e Division est commandée par le Général Jacques Laurent Louis Augustin Vial ou Honoré Vial en remplacement du général Jacques de Menou. La 5e division forme un carré au centre du dispositif Français.
• Chef d’état-major : Général François Rambeaud
• 1e Brigade – Général Antoine Joseph Veaux
    o 22e demi-brigade légère – Général Chavardes
• 2e Brigade –
    o 13e demi-brigade de bataille – Général François-Joseph Augustin Delegorgue

Artillerie
L’artillerie est composée de :
• 42 bouches à feu, à pied et à cheval
• 6 forges
• 6 affûts de rechange
• 50 caissons attelés par 500 chevaux où mulets

Autres troupes
• Les guides à cheval
• Les guides à pied
• 1 bataillon d’artillerie à pied
• 1 bataillon de sapeurs
• 1 bataillon de mineurs-ouvriers
• Des éléments de la Légion nautique
• Des éléments de la Légion Grecque
• 1 réserve de 2 600 hommes sous les ordres du Général Joachim Murat
• 2 brigades de cavalerie à pied de chacune 1 500 hommes sous les ordres des généraux de brigade Joseph de Zajaczek et Antoine François Andréossy
• 15 bateaux montés par 600 marins sous les ordres du contre-amiral Jean-Baptiste Perrée.
 
Forces Egyptiennes
Commandement Général - Général en chef : Mourad-Bey commandant environ 50 000 hommes

Droite du dispositif égyptien, en avant du village d’Embabeh sur la rive gauche du Nil vis à vis de Boulaq
• 20 000 janissaires, arabes et milices du Caire
• 40 canons

Centre du dispositif égyptien
• 6 000 mamelouks
• 15 000 Fantassins de l’infanterie irrégulière

Gauche du dispositif égyptien, s’appuyant sur les Pyramides
• 10 000 Fantassin (Infanterie)

Autres troupes :
• 60 bateaux

lundi 26 avril 2010

la Division Hermann Göring en Italie (PDF FOW)

Historine vous met à disposition des PDF officiels de la Hermann Göring en Italie. Il s'agit d'une liste de PanzerPionniers avec leurs supports.

Bonne lecture et bon jeu.

jeudi 15 avril 2010

Les Flammpanzers (1)

Historine commence aujourd'hui une petite étude sur les chars lance flammes allemands. Aujourd'hui, les chars de capture français B-2.

Les unités de Flammwagen auf Panzerkampfwagen B-2 (f)
Les allemands, après la campagne de 1940 récupérèrent, un grand nombre de chars français dont notamment des chars B1 Bis. Ils en transforment 60 en chars lance flammes sous la dénomination Flammwagen auf Panzerkampfwagen B-2 (f).Cette version du char, conserve sa tourelle avec le canon de 47 mm mais le canon coaxial de 75 mm est démonté ainsi que la mitrailleuse et l’espace ainsi libéré utilisé par un système lance-flamme. De plus une ouverture est créé au dessus du canon pour permettre à l’opérateur de pouvoir viser. 
Cette modification a connu trois version successive, la dernière utilisant une pompe à l’azote et ayant la capacité de tirer 200 jets de 3 secondes de napalm à une portée estimée de 40-45m. Cette dernière version, contrairement aux deux autres qui utilisaient un réservoir interne, possède un réservoir externes blindé de 30mm caractéristique. 
Le Panzer Abteilung 213 est créée le 17 novembre 1941.il est équipé de chars francais de capture.  Initialement, il est composé de deux compagnies lourdes comprenant chacune  13 PzKpw B2 et 5 PzKpw B2 flamm.
Les B-2 flamm, intégrés à la 7.Komp Pz.Rgt 201 et 202 (formant ainsi le Pz.Abt 102) sont envoyés sur le front de l’Est en 1941. 
Le PzKp. 223 a 12 B-2s flamm en Crimée à l’été 1942 et la 7ème SS (division de montagne) en a quelques uns dans les Blakans en 1942.
Le Pz.Kp 224 est lui stationné en Hollande et participera à la bataille d’Arnhem en 1944.

mercredi 14 avril 2010

Le Stuka

Historine vient aujourd'hui vous parler du Stuka ou plutôt des Stukas, avions emblématiques de la Seconde Guerre Mondiale.
Bonne lecture.

Le Stuka:
Stuka est l'abréviation du mot allemand « SturzKampfflugzeug », soit en français « bombardier en piqué ». Elle désigne l'ensemble des appareils allemands ayant été utilisés à des fins de bombardement en piqué, que ce soit au sein des StukaGeschwadern (« escadres de bombardement en piqué ») qu'au sein d'autres unités de la Luftwaffe. En France, cette abréviation fut rendue célèbre à partir de la campagne de France de 1940 en raison de la terreur particulièrement traumatisante qu'infligeait le bombardier en piqué le plus répandu de la Luftwaffe de 1940, le Junkers Ju 87, au point que le terme Stuka est souvent utilisé à tort pour désigner cet appareil seul.
Historique
Les Stuka sont avec les panzers des armes qui ont rendu possible le Blitzkrieg. Rien, de prime abord, ne paraissait aussi peu raisonnable que cette spécification portant sur un avion capable de plonger presque a la verticale sur un objectif fortement défendu sans dévier de sa route. Bien que ce fût la meilleure façon de placer une bombe au but, comme d'éviter l'interception par la chasse adverse ou la DCA (Défense Contre Aviation), l'attaque en piqué soumettait pilote et appareil à des phénomènes physiques à la limite du supportable.
L'apparition du bombardier en piqué JU 87, et surtout son utilisation, permit la concrétisation de cette tactique. Sans lui, le succès de l'armée allemande en Pologne, Hollande, Belgique, France, Méditerranée eût été moins éclatant, voire impossibles. En effet, avant l'invention des Stukas, la seule possibilité d'attaquer un objectif bien précis était de s'approcher en vol horizontal a basse altitude, donc à s'exposer dangereusement aux tirs de la DCA.
Liste d'avions
Parmi les bombardiers allemands destinés au rôle de Stuka, on peut compter:
•    Henschel Hs 123 (a servi en tant que Stuka de 1936 à 1940)
•    Junkers Ju 87 (a servi en tant que Stuka de 1937 à la fin de 1943)
•    Junkers Ju 88 (a servi en tant que Stuka de 1939 à 1945)
•    Henschel Hs 132 (prototype capturé en 1945 avant son premier vol)

mardi 13 avril 2010

La bataille des Pyramides (2) - (21 juillet 1798)

Historine poursuit son étude de la bataille des Pyramides.

Bonne lecture. 

La bataille
Bonaparte, en examinant l'ennemi remarque que les pièces qui garantissent le camp d'Embabeh n'étaient pas montées sur des affûts de campagne. Les fantassins turcs n'oseront pas s'en éloigner. Il ordonne à Desaix de prolonger sa droite pour se mettre hors de portée de l'artillerie, et d'attaquer ensuite les Mamelouks, tandis que Bon, de son côté, attaquera de front les retranchements d'Embabeh.
Mourad s'aperçoit du mouvement des français et en devine l'intention. Il donne alors l'ordre à sa cavalerie de charger les colonnes françaises pendant leur marche. Le choc est si rapide et brutal sur les colonnes françaises, qui se forment en carrés, que ceux-ci en sont un moment ébranlés. Les charges des Mamelouks se multiplient en vain face au déluge de feu qui s'abat sur les cavaliers.La discipline des carrés français semble l'emporter sur leurs efforts désordonnés. De nombreux Mamelouks trouvent la mort devant ceux-ci, où viennent se briser tous leurs efforts. Bonaparte saisit alors ce moment décisif pour faire attaquer Embabeh.
Les généraux Bon et Menou enlèvent à la baïonette le village et ses retranchements, tuant de nombreux Mamelouks qui s'y sont retranchés. La division turque et les Fellahs sont alors resserrés entre les carrés français et le fleuve. Ils sont entièrement dispersés ou détruits. Mourad Bey, séparé de ses troupes, se retire vers Gizeh avec 2 500 à 3 000 cavaliers, seul reste de son armée. La division de Desaix continue la poursuite au-delà des pyramides.
Conséquences
Les pertes françaises lors de cette bataille sont très légères, de 30 à 40 morts et environ 300 blessés contre plus de 20 000 tués ou blessés chez les Mamelouks qui perdent 40 à 50 canons.
Cette bataille ouvre la route du Caire à Bonaparte qui y entre le 24 juillet. Immédiatement le jeune général lance des travaux dans la ville et s'emploie à faire de cette victoire le point de recherches archéologiques, scientifiques qu'il souhaitait. Il crée alors l'institut français de Caire. Mais cette belle victoire est bien vite oubliée. Les anglais anéantissent la flotte française dans la rade d'Aboukir. Toute retraite devient impossible. La seule solution pour Bonaparte est de continuer sur sa lancée. Il pousse ses troupes vers la Palestine dans les 6 premiers mois de 1799.
 
Mais l'épopée devient sanglante et désastreuse. Bonaparte est obligé de rentrer discrètement en France afin de préparer son avenir politique et éviter une déroute égyptienne qui porterait son nom. Il confie alors le commandement de l'armée française d'Égypte au général Kléber.
 

lundi 12 avril 2010

le Flakpanzer 38(t)

Historine poursuit son étude de la petite famille du panzer 38(t) et s'intéresse aujourd'hui à la version antiaérienne :  le Flakpanzer 38(t).
Flakpanzer 38(t) auf Selbstfarlafette 38 (t) auf L ou Sdkfz 140
Constructeur : BMM (Bohmisch Mahrischen Maschinenfabrik)
Type: automoteur antiaérien
Équipage: 4 hommes
Armement: un canon de 2 Cm Flak 38L/112.5 approvisionné à 1040 obus.
Blindage: minimum 15 mm (côtés) ; maximum 20 mm
Poids: 9,8 tonnes
Performances: Vitesse sur route 42 km/h, tous terrains : 15 km/h ; autonomie (route) 185 km, (tous terrains) 140 km
Temps de service : Année 1944, essentiellement sur le front Ouest
Développement:
Durant l'automne 1943, Hitler approuve le développement du Flakpanzer IV armé du 3,7 cm mais refuse la production du Pz IV armé avec le 2 Cm Flak Vierling. Le 15/10/1943, devant l'urgence d'un manque de soutien flagrant en engin blindé antiaérien, Hitler autorise la construction d'une solution intermédiaire pouvant être monter rapidement sur la base d'un châssis largement éprouvé : l'excellent châssis du char tchèque 38 (t) avec son moteur central. 150 Flakpanzer sont alors commandés et 141 seront produits avant la sortie du Flakpanzer IV (Mobelwagen).
En unités :
Voici la liste des unités ayant été livrées :
1. SS-Pz.Div. "Leibstandarte": 12 livrés en mai 1944 et donnés à la 9° ou 10° SS-Pz.Div.
2. SS-Pz.Div. "Das Reich": 12 livrés en mai 1944 et donnés à la 9° ou 10° SS-Pz.Div.
9. SS-Pz.Div. "Hohenstaufen": 12 livrés en mars 1944
10. SS-Pz.Div. "Frundsberg": 12 livrés en mars 1944
12. SS-Pz.Div. "Hitlerjugend": 12 livrés en avril 1944
17. SS.Pz.Gren.Div. "Götz von Berlichtingen": 12 livrés en Juin 44 plus 8 en septembre 44
2. Pz.Div : 12 livrés en février 1944
21. Pz.Div : 12 livrés en mars 1944
26. Pz.Div :12 livrés en mars 1944
29. Pz.Gren.Div : 12 livrés en mars 1944
90. Pz.Gren.Div :12 livrés en mars 1944
Panzer Lehr Div : 12 livrés en mars 1944
Fallsch.Pz.Div. "Hermann Göring": 12 livrés en mars 1944
 
A noter que 50 chassis seront armés d'un autre 2 Cm : le 2 cm Kwk38L/55, ces Panzers serviront dans les Aufklarung Abteilungen en quantité très limitée. Appelation : Aufklarungspanzer 38 (t).

jeudi 8 avril 2010

L'Arme Blindée Japonaise en 1939 -1945 (5)

Historine vous propose aujourd'hui l'organisation type d'une division blindée japonaise en 1944.

Bonne lecture.

Organigramme de la division blindée modèle 1944

Reconnaissance :
Un bataillon de 31 chars légers et de 10 moyens en 4 compagnies
Blindés :
Une brigade composée de trois régiments de Chars : 250 chars de types 95 KE-NU, 97 CHI-HA
Infanterie :
Un régiment d’Infanterie mécanisée à trois bataillons, avec en appui 9 chars légers.
Artillerie :
Un Régiment équipé de 28 pièces de 75 mm et de 105 mm
 
Génie :
Une Compagnie

Artillerie AA :
Un Bataillon équipé de 8 pièces de 75 AA Mle 88, 24 canons AA de 20 mm en affût simple ou double.
Artillerie AC :
Un bataillon antichar équipé de 18 pièces de 37 et de 47 mm