Historine vous souhaite à tous un joyeux Noël
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Venez jouer avec nous tous les vendredis, samedis et dimanches de 9 heures à 23H à Floirac (Bordeaux)
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vendredi 22 décembre 2017
mercredi 6 décembre 2017
49è édition des Rencontres Belliludistes Bordelaises en vue!! 20 janvier 2018
Les Rencontres Belliludistes Bordelaises se déroulent 1 fois par
mois dans les locaux d'Historine (adresse ci-dessous).
Il s'agit d'un week-end convivial durant lequel les joueurs peuvent proposer, observer, discuter et participer à des wargames avec pions ou figurines. Chacun jouant à ce qu'il lui plaît et le temps qu'il le désire.
Prochaine session des RBB le 20 janvier 2018, de 09H30 jusqu'à 23H30. Et la salle est ouverte le vendredi soir comme d'habitude.
>> Historine>> 4 avenue Camille Pelletan, Maison des Sports et Loisirs 33270 Floirac
Afin d'organiser au mieux cette session je vous propose de récapituler la présence de chacun (avec pourquoi pas les horaires), les jeux apportés, les parties organisées, sur:
samedi 2 décembre 2017
jeudi 2 novembre 2017
Stratejeux-Burdigame 2017: nous y serons
Comme pour chaque édition du festival du jeu dans le bordelais, les membres d'Historine seront présents et proposeront des démos participatives de Commands & Colors Tricorne, Mémoire 44 Overlord et Wings of War. N'hésitez pas à nous rejoindre pour jouer avec nous!
vendredi 20 octobre 2017
vendredi 6 octobre 2017
48è édition des Rencontres Belliludistes Bordelaises en vue!! - 21 octobre 2017
48è édition des Rencontres Belliludistes Bordelaises en vue!!
Les Rencontres Belliludistes Bordelaises se déroulent 1 fois par mois dans les locaux d'Historine (adresse ci-dessous).
Il s'agit d'un week-end convivial durant lequel les joueurs peuvent proposer, observer, discuter et participer à des wargames avec pions ou figurines.
Chacun jouant à ce qu'il lui plaît et le temps qu'il le désire.
Prochaine session des RBB le 21 octobre 2017, de 09H30 jusqu'à 23H30.
Ayant répondu favorablement au Doodle pour cette date : Franck / Romeyer / David / Pascal / Vinc' /Laurent Ze Grosbil / Jurgen / Xavier
>> Historine>> 4 avenue Camille Pelletan, Maison des Sports et Loisirs 33270 Floirac
Afin d'organiser au mieux cette session je propose de récapituler la présence de chacun (avec pourquoi pas les horaires), les jeux apportés, les parties organisées, etc....
http://www.strategikon.info/phpBB3/viewtopic.php?f=64&t=23787
Chacun devra se munir de son ravitaillement.
Afin d'organiser au mieux cette session je propose de récapituler la présence de chacun (avec pourquoi pas les horaires), les jeux apportés, les parties organisées, etc....
http://www.strategikon.info/phpBB3/viewtopic.php?f=64&t=23787
Chacun devra se munir de son ravitaillement.
Franck cherche un adversaire sur : Figurines Escarmouche ou Simple GBOH dernière édition ou World at War ou ATS
mercredi 16 août 2017
les B1 Bis du 13ème Dragon en 1944 (La forteresse du Médoc)
Historine
poursuit son exploration des B1bis du 13ème Dragon. Mais aujourd'hui, nous
allons faire une disgression avec la forteresse du Médoc, bien
connue de nous autres Girondins.
La
forteresse du Médoc couvrait un peu moins de 180 km2 (trois fois le lac de
Cazaux). Elle était composée de trois lignes de défense : un barrage de mines,
doublé d'un fossé antichars et une ligne de casemates. Elle était dotée d'une
centaine de points d'appui abritant 111 canons de 20 à 165 mm, des
transmissions modernes, un radar, un dispositif de protection comprenant plus
de 500 000 mines, des obstacles divers sur les plages, des pieux armés de mines
ou de grenades. Prévue aussi, l'inondation des terres basses du Bas-Médoc ne
laissant au sec qu'une étroite bande côtière côté océan.
24 août
1944, la forteresse compte 3550 hommes. L'importance des effectifs et la
longue durée du siège (8 mois) ne seront pas sans poser beaucoup de problèmes
aux défenseurs. La forteresse possède 6 mois de vivres. Des parachutages en
denrées de première nécessité et les ressources locales (réquisitions et
pillages des maisons vides) contribueront à assurer les besoins. Mais cette
situation a eu des conséquences sur le moral des troupes.
Elle est limitée au sud de Soulac par un fossé
anti-chars (de la Gironde à l’océan,
en rouge sur la carte), mais se
prolonge par un terrain de combat avancé jusqu’à Montalivet, comprenant
37 positions dont 29 positions légères, blockhaus (abris en bois).
S = Point d’appui (béton)
W =Nid de résistance (béton)
Sp = Position de barrage (bois)
Up = Position de barrage intermédiaire
Ar1,Ar2,O.B.M.N.S = S et Sp de Montalivet
La libération le 20 avril 1945, s'est faite en 7 jours
de combats acharnés, engendrant 380 français tués et 843 blessés, 937 allemands
tués et 3 300 prisonniers.
Ordre de bataille des forces françaises fin
octobre 1944 sous les ordres du Colonel Jean de Milleret
Brigade
Carnot : Colonel de Milleret alias Carnot
- Bataillon Claverie Landes- Bataillon Léon Landes
- Bataillon Lartigau Nord Landais
- Bataillon Baradat Aire sur Adour
- Bataillon Duchez Arcachon
- Bataillon Léon du Blayais
- Bataillon Georges Gironde
- Bataillon Chodzko ( Penthésilée) Bordeaux
- Bataillon Charly Médoc Gironde
- Bataillon Marocain : ex prisonnier de guerre
Brigade Marsouin : Lieutenant -Colonel Fourteau ( Dordogne)
- Bataillon Roche : Armée Secrete
- Bataillon Bayard : Dordogne
- Bataillon Pistolet : Dordogne
- Bataillon Marsouin : Dordogne
- Bataillon Bertrand : Dordogne
- Bataillon Songe : Gironde
- Bataillon : 18ième Bataillon Espagnol
- Force outre Mer.
Brigade Baluze :
Lieutenant-Colonel Baluze alias Mammouth
- Bataillon Jo, 2ième Bataillon de Corrèze- Bataillon : 21ième Bataillon de Corrèze
- Bataillon Pierre : Dordogne
- Compagnie de Choc "Bretagne" : Capitaine Fiardo
- Escadron Klein des Landes Lieutenant Fontaine
- 1ier Régiment d 'artillerie Coloniale : Lieutenant-Colonel de Lagarrigue
Artilleurs de la Gironde, Artilleurs des FFSO, plus ex-prisonniers de guerre outre mer.
Escadrille Dupeyron : Capitaine Lafitte
- 31ième Brigade Espagnole : Commandant Cassado
Bataillon Gernika ou Guernica -
Bataillon LibertadBrigade la Mette : Commande de la Mette (Gironde)
2nd Régiment du Lot : Commandant le More.
Ci dessous la composition de la Division Garonne en avril 1945.
lundi 14 août 2017
les B1 Bis du 13ème Dragon en 1944 (4)
Historine poursuit son étude du 13ème Dragon (Parachutiste) et de ses B1 bis en 1944 -1945
Sur
le front de Royan
Face
aux troupes allemandes retranchées à Royan, la Division Gironde attend des
renforts en blindés, soit l’apport (en plus de la Division Leclerc), de deux
Escadrons du 13e Régiment de Dragons et de quatre Escadrons du 1er Régiment de
Spahis Marocains.
Le
2e Escadron du 13e R.D débarque en gare de Jonzac le 2 avril avec ses dix-sept
chars B1-bis, en provenance d'Orléans, et s'installe à Cravans. De son coté le
1er Escadron du 13e R.D, stationné à Mauzé, est transféré à
Saint-Genis-de-Saintonge le 3 avril avec ses seize Somua S-35, avant de
rejoindre Saint-André-de-Lidon.
Le
14 avril, le 1er Escadron du 13e Dragons, intégré au Groupement Sud, est engagé
en appui des unités du Sous-Groupement Frugier. Il participe à l’attaque des
avants-postes allemands dans le secteur de Semussac. Le bataillon I/50e R.I
débouche en direction de Semussac qui est rapidement atteint avec l'appui des
Somua des Pelotons Bertoleaud et Ollier.
Le
15, le Sous-Groupement Faulconnier doit prendre les villages de Boube et du Peu
avec les bataillons de marche B.M.2 et B.M.5 appuyés par une partie des B1-bis
du 2/13e R.D du Capitaine Voillaume. Malgré la résistance allemande les
objectifs sont atteints. Le B.M.2 toujours appuyé par un peloton de B1-Bis
poursuit son action vers Didonne. A l'entrée de la localité le Lieutenant
Philippe Naud, commandant le peloton de B1-bis de soutien, est tué. Lors de cet
affrontement le char “Bayard” reçoit un obus de 8,8 cm Pak, qui le met en
flammes.
Après
la prise de St-Georges-de-Didonne par le bataillon de Bigorre et les B.M.2 –
B.M.5, les B1-Bis sont mis en réserve aux Moulins de Didonne.
De
leur coté, les Somua du 1/13e R.D sont restés en réserve toute la journée près
des Brandes dans le secteur du Groupement Sud.
Le
16, les Somua du 1/13e R.D du Capitaine d'Aboville, reçoivent l'ordre se mettre
à la disposition du III/4e Zouaves. Deux pelotons de Somua sont engagés pour la
prise du PC allemands du bois de la Métairie. Dix-huit officiers, dont le
Korvettenkapitän (MA) Franz Seim (chef d'état-major de Michahelles), et cent
vingt hommes sont capturés. L'attaque se poursuit en soirée en direction de la
mer et les deux pelotons de Somua atteignent la côte. Les chars ne pouvant plus
agir dans le noir, le 1/13e R.D rejoint le Casino pour la nuit.
De
leur côté les B1-bis nettoient, conjointement avec le B.M.2, les dernières
poches de résistance dans le quartier du parc de Royan. Les B1-bis coopèrent
efficacement avec ce bataillon pour anéantir les positions allemandes de la
pointe de Vallières. Quinze prisonniers sont capturés après une résistance
acharnée.
Le
17 avril, l'escadron de Somua du 13e R.D devant rejoindre le front du Médoc,
est retiré du sous-groupement et est remplacé par l'escadron de B1-bis qui
rejoint la gare.
Ce
même jour, un fort appui blindé fourni par les B1-bis de deux pelotons du 2/13e
Dragons du Capitaine Voillaume, arrivent pour prendre part à l’attaque du PC
Amiral de Pontaillac. Rencontrant des obstacles antichar et des mines, les
B1-bis avancent avec précaution suivis ou précédés par l'infanterie. Un mortier
et plusieurs nids de mitrailleuses sont détruits au canon.
L'étreinte
se resserre autour du PC du Konteradmiral Michahelles. Progressivement investi
par les tirailleurs du III/4e Zouaves, la position faiblie. Peu de temps après,
un parlementaire se présente au Capitaine Voillaume pour annoncer la reddition
du Konteradmiral Michahellis. Ce dernier sort alors de son PC avec ses
officiers d'état-major.
Ici
prend fin l’action du 13e Régiment de Dragons dans la poche de Royan. La perte
d’un seul l B1bis est à déplorer "Bayard” (détruit par Pak le 15 avril
près de Saint-Georges de Didonne).
Le
22 avril, le Général De Gaulle passera en revue les troupes ayant participées
aux combats dont le 2 e escadron du 13 e Dragons seul disponible pour la
parade, étant donné que le 1er escadron est en phase de transfert vers Marennes
Oléron en vue de participer à l’Opération « Jupiter » (attaque de l’île
d’Oléron).
vendredi 11 août 2017
les B1 Bis du 13ème Dragon en 1944 (3)
Historine poursuit son étude du 13ème Dragon
(Parachutiste) et de ses B1 bis en 1944 -1945.
Nous allons entamer une série de plusieurs articles retraçant les combats pour la destruction des poches de La Rochelle, Royan et de la pointe du Médoc.
Après une brève période d’instruction, le 1er
escadron de Somua quitte Orléans pour Cognac, et est mis à la disposition des
F.F.O. Il rejoint le front de La Rochelle et stationne à Lonlay le 2 janvier
1945.
L’unité va subir son premier engagement le 1er mars
1945 à Saint-Jean-de-Liversay. Face au 114e R.I stationnant dans la région de
Vérines, la II.Abteilung (Major Scholtz) du Marine Regiment Zapp déclenche une
attaque en direction de Saint-Jean-de-Liversay.
Le front est enfoncé et les unités
françaises sont culbutées (la 2e Cie est encerclée et anéantie). Le village de
Saint-Jean-de-Liversay est occupé par les troupes d’assauts allemands et les
français doivent se regrouper. Le 3e Bataillon du 4e Zouaves, le 3e Escadron de
Spahis et le 1er Escadron du 13e Dragons sont dépêchés sur place afin de
bloquer l’avance allemande. Les Zouaves et le 2e Peloton du 13e Dragons
reprennent, après une haute lutte, le village de Grand Beauregard, tandis que
les deux autres pelotons attaquent sur Luché et Sourdon.
Le premier engagement des Somua du 13ème Régiment de Dragon est
un succès.
jeudi 10 août 2017
les B1 Bis du 13ème Dragon en 1944 (2)
Historine poursuit son étude du 13ème Dragon (Parachutiste) et de ses B1 bis en 1944 -1945.
Voici quelques extraits du JMO du
13e RD précisant l'origine du matériel.
I - Il sera créé par vos soins à la date du 15 octobre 1944 un régiment de chars qui prendra l'appellation de 13ème Dragons.
II - Les tableaux d'effectifs détaillés de ce régiment seront adressés incessamment.
Dès à présent, la mise sur pied peut être envisagée sur les bases suivantes :
a. 1 escadron hors-rang (comprenant un dépannage étoffé).
b. 1 escadron de chars B 1 bis (17 chars)
c. 1 escadron de chars Somua (17 chars)
d. 1 escadron de chars légers (17 chars)
Effectifs globaux d'environ : 20 officiers, 90 sous-officiers, 500 hommes
III - Le personnel nécessaire sera recruté parmi les formations F.F.I. de votre territoire.
Il sera fait appel en priorité aux cadres et équipages des anciennes D.L.M. et divisions cuirassées.
En cas de besoin, pourra être également recruté le personnel appartenant aux spécialités ci-après:
e. mécaniciens,
f. ouvriers qualifiés (automobiles, mécanique générale, électricité)
g. conducteurs de poids lourds
IV - Les matériels de toute nature nécessaires à l'équipement de ce régiment seront attribués comme suit :
h. (4 mots illisibles), véhicules divers, etc., par utilisation maximum des matériels détenus par les éléments F.F.I. de la 5ème Région entrant dans la composition du 13° Dragons.
i. chars : par prélèvement sur les chars français récupérés et rassemblés à Gien et à Paris. Des ordres ultérieurs en fixeront la répartition
j. véhicules de transport : à titre d'avance à valoir sur les dotations de ce régiment il sera délivré par mes soins 6 V.L. et six camions
[...]
Voici le tableau du régiment :
I - Il sera créé par vos soins à la date du 15 octobre 1944 un régiment de chars qui prendra l'appellation de 13ème Dragons.
II - Les tableaux d'effectifs détaillés de ce régiment seront adressés incessamment.
Dès à présent, la mise sur pied peut être envisagée sur les bases suivantes :
a. 1 escadron hors-rang (comprenant un dépannage étoffé).
b. 1 escadron de chars B 1 bis (17 chars)
c. 1 escadron de chars Somua (17 chars)
d. 1 escadron de chars légers (17 chars)
Effectifs globaux d'environ : 20 officiers, 90 sous-officiers, 500 hommes
III - Le personnel nécessaire sera recruté parmi les formations F.F.I. de votre territoire.
Il sera fait appel en priorité aux cadres et équipages des anciennes D.L.M. et divisions cuirassées.
En cas de besoin, pourra être également recruté le personnel appartenant aux spécialités ci-après:
e. mécaniciens,
f. ouvriers qualifiés (automobiles, mécanique générale, électricité)
g. conducteurs de poids lourds
IV - Les matériels de toute nature nécessaires à l'équipement de ce régiment seront attribués comme suit :
h. (4 mots illisibles), véhicules divers, etc., par utilisation maximum des matériels détenus par les éléments F.F.I. de la 5ème Région entrant dans la composition du 13° Dragons.
i. chars : par prélèvement sur les chars français récupérés et rassemblés à Gien et à Paris. Des ordres ultérieurs en fixeront la répartition
j. véhicules de transport : à titre d'avance à valoir sur les dotations de ce régiment il sera délivré par mes soins 6 V.L. et six camions
[...]
14 novembre 1944 - A cette date, le
matériel chars du Régiment se décompte comme suit :
Chars B 1 bis : 7 à GIEN, 10 à PARIS
Chars Somua : 2 à ORLEANS, 3 à GIEN, 12 à
PARIS
Chars légers : 11 chez HOTCHKISS, 6 à
ISSY
Organisation du régiment (Tableau)
13e Régiment de Dragons
Commandant : Chef d'Escadrons Georges Lesage
Groupe de mortiers régimentaire : Lieutenant Edmond Lebrun
Détachement sanitaire : Médecin Capitaine Louis Couturat
Groupe de dépannage (véhicules semi-chenillés dont « Le Sauveur »)
1er escadron (soit 16 chars Somua S-35) : Capitaine Christian
d'Aboville sur char de commandement S-35 « Bandar »
1er peloton : Lieutenant ?
2e peloton : Lieutenant Bertoleaud
3e peloton : Aspirant Ollier
Trois pelotons de cinq S-35 chacun :
- Athos, Aramis, D’Artagnan, Portos, Myladie (les trois Mousquetaires)
- Atlas, Bacchus, Belzebuth, Titan, Vulcain (dieux grecs)
- Bagheera, Baloo, Mowgli, Kaa, Shere-Khan (le livre de la jungle)
2e escadron (soit 17 chars B1-bis) : Capitaine Edmond Voillaume
1er peloton : Lieutenant Philippe Naud
2e peloton : Lieutenant Orval, puis Lieutenant Breton
3e peloton : Aspirant Escoffier
Trois pelotons de cinq chars B1-Bis chacun, auxquels s’ajoutent un
char de commandement et un char de réserve.
Leurs noms de baptêmes sont des
grandes batailles (exemples : Arcole (n°19), Abbeville), des personnages
célèbres (exemples : Bayard, Dugueclin (n°03), ou des noms de régions
françaises (exemples : Lorraine (02), Vercors (22), Bretagne). Chaque blindé dispose
aussi sur sa tourelle d’un numéro d’affectation
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